… ou nous au pays des leprechauns
Dublin, ou plutôt l’Irlande, était un rêve depuis longtemps. Depuis la 3ème ou 4ème, quand un livre de contes et légendes irlandaises est tombé entre mes mains. Je m’étais dit que le pays où les leprechauns ont élu domicile valait largement le détour. Quelques films avec Colm Meaney, deux spectacles de danse et un nombre non-négligeable de livres de “chick-lit” d’auteures irlandaises ont affermi mes intentions de trouver un moyen de visiter l’ile Emeraude dans un futur proche.
Aussitôt dit, aussitôt fait! Le vol était réservé, l’hôtel (plus précisément, le bed-and-breakfast) choisi depuis février, les vacances posées et le voyage attendu avec impatience quand Celui-Dont-On-N’arrive-Pas-A-Prononcer-Le-Nom a commencé à cracher des cendres. C’est là où l’on se rend compte combien nous sommes devenu dépendant des transport aérien. Heureusement, 3-4 jours avant notre départ, les aéroports ont rouvert et nous avons pu vérifier sur place si les filles sont si jolies, comme dit la chanson.
Je ne sais pas si c’est à cause du mon état d’esprit positif ou parce que la réalité correspond aux impressions du touriste mais j’ai beaucoup apprécié Dublin. C’est une ville accueillante, humaine et très cosy. Il n’y a pas de buildings qui cachent le ciel, les distances par rapport au centre ville sont suffisamment courte pour les effectuer à pied, les gens sont souriants et chaleureux. Mon karma du bon temps à fonctionné à merveille : malgré les prévisions il a plu seulement pendant 10 minutes le premier jour. J’ai particulièrement aimé les parcs et surtout le Jardin Botanique.
La bière est excellente, la nourriture aussi. Le quartier de Temple Bar est rempli de pubs avec de la musique traditionnelle en live. Nous avons testé 4 différents types de bière (avec une certaine modération car nous avions Clochette avec nous) que des brunes d’ailleurs (les blondes, je les laisse aux hommes). Le pain local est très bon, ainsi qu’une soupe de poisson, légumes et crème fraiche (chowder).
Nous avons quitté Dublin avec regret et avec l’intention d’y revenir un jour pour voyager un peu plus dans le pays à la recherche du chaudron d’or au-delà de l’arc-en-ciel.